Dormex l'heure du sofa, dormex ma belle amour. Viens dans mes bras rouges, et plus personne n'y viendra.

Maux de tête .. quand nous nous sommes le gratin d'un cadavre

Une semaine magnifique par delà le trou des oubliettes, je suis trop envers vous, je suis grosse entre vous. Je ne suis pas ce qui doit faire partie de vous.

Parole d'un livre qu'on doit redonner à la fin de chaque lamentations.. puant le vieux cierge jauni.

Et quand le déclic se fait...

Pour une poignée de battements de coeur, pour ce que ça vaut vraiment.

Quand mon haleine devient fétide, qu'elle ne souffle qu'une fin à venir, et non le rêve du recommencement.

Dérailler sans réagir, se dire que c'est toujours comme ça ..de toute façon il fera noir. Mais jamais pour bien longtemps.

Mille ans de lutte, mille ans à me rouler dans les éclats et les abcès, dans les eaux crevées des bulbes de mes espoirs, de mes amours de mes aurores.

Trop occupé à brûler vite. Blasée. Les tympans crevés par le bruit de freinage.... en vain.

-V.

"

J'ai plus que moi-même à qui dire
Qu'il est triste mon triste empire
Qu'il est triste sans toi
Quel océan, vers quel abîme
Dis-moi où mène ce chemin
Où tu n'es pas
Car si l'on ne meurt pas d'amour
Je peux te dire qu'il est certain
Qu'on meurt de toi
Qu'on meurt de toi"

...

erviv ed eioj

Il était un petit navire connu pour sa cruauté.

Pour qui sonne quoi que ce soit.


Pour qui sonne les grandes sirènes éprises, ces puritaines involontaires, ces lolitas avec une tête.

Me pitchant tout au fond de ma gondole brûlante au sol. Ce genre de compagne physique qui crie sous mes averses. Et je veux respecter la règle soit vous consommer sur place seulement.

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lorsque je ne sentirai plus rien?...
lorsque je vais cesser de trembler?

je voudrais te prendre la main tu sais
mais à quel prix encore?

le coeur enfutaillé
qui s'est maintes fois noyé dans un flot d'aveux mort-nés

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Je te regarde ce soir et je ris intérieurement, tu ne sais pas mon âge, tu me crois plus jeune et tu me fais la morale..."t'es toute jeune tu sais"..j'ai 5 ans de plus que toi tu sais pas. Tes combats je les ai trop fais et je n'en retire plus aucune satisfaction. Je ne passe plus par ta route. Mais je ne dis rien...ça m'amuse.

***

*Je m'invente des hymnes scientifiques*

-V.-