Ta consience lapidée de la blancheur de mes mots,
tu me vois maintenant à ta gauche, la vertue qui gît à mes pieds.
Serpents qui ont mangés ma vie, digérant de colère de l'avoir fait trop vite.
crache
1 commentaire:
Magenta
a dit…
J'aime beaucoup ce billet
24 janvier 2009 à 21:14
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1 commentaire:
J'aime beaucoup ce billet
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