Quand tout se consume, quand rien ne se consomme..
La scène du crime tourne en ma tête tout comme restent les effluves de ce vieux houblon renversé..
Sommes nous en pleine averses ou au coeur de l'orage?
Le coeur en appennage, la tête voudrait suivre.
Les situations sont de plus en plus corrélatives et tout ce temps qui prend feu.
Millions de miroirs qui me rappellent que je me suis sortie de tout.
Des chutes immenses en ces murs chaotiques, le noir qui ne perle pourtant pas.
J'ai encore trop de reflets et d'éclats pour dire que je ne suis qu'une ombre.
Septembre passe devant moi et je commence à avoir froid.
Pourtant tout se consume...rien ne se consomme.
Pourtant j'ai le coeur en feu.
Hier soir quand tu me livrais la berge de tes silences, quelque chose avaient déserté.
***
Un autre coucher de soleil dans les yeux, l'oblitération ''post mortem'' dans la pupille. Beauté lucide et tatouée forever sur le désir brut.
Moi robot des ruelles, cliquetis qui résonne... Rue Sainte-Catherine
(Vivre cette fois)
Parfums chattoyants..
nuages mourrants...
Nuit des autres soirs..
Continuer de travailler sous les faisceaux de néons pathologiquement blasés..
words are spoken
To be broken
Feelings are intense
Words are trivial
Pleasures remain
So does the pain
Words are meaningless
And forgettable
All I ever wanted, all I ever needed
Is here in my arms
Words are very unnecessary
They can only do harm
-Depeche Mode-
Bientôt hors d'usage? Oh non, ma coquille est encore neuve, seulement.....je crois que j'avais juste oublier un peu...un temps...un instant...j'avais oublié à vivre.
Pire encore.. j'ai ébranlé c'qui avait dans la tienne.
1 commentaire:
"The grabbing hand
Grab all they can
[...]
It's a competitive world"
- Depeche Mode, as well.
Beautiful. =)t
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