Rue Aylwin
Je n'arriverai jamais à donner les mots si justes mais le temps de la rue Aylwin est révolu et j'ai tout perdue de cette espèce de solitude creuse qui ressemblais à un état d'ablation mentale des plus solide. Mais je me rapelle encore des trous sur les murs, des gens qui les ont fait. Je me souviens des psychoses, de la petite pôle de garde-robe, de la porte qui claquait toujours. L'état de survie extrême. Je n'arrivais juste plus à me lever parfois, pour ne pas avoir à me subir.

Un jour les vaisseaux sanguins m'avaient éclatés subitement après avoir sniffé de la mdma. Ça avait duré deux semaines.

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